Cultiver son jardin (et son corps)
Samedi matin, on sort plein d'enthousiasme et d'énergie faire un peu de jardinage...
Un week-end au jardin plus tard : une greffe de pelouse devant la maison, une plantation de la haie ouest (la haie est, ce sera une autre paire de manches!) et un tilleul planté, l'occasion de constater combien Tintin a pris du muscle en une année : il a rempli plus de dix sceaux de compost tout seul avec sa pelle! J'ai été impressionnée par sa ténacité au travail, lui qui aurait pu faire du vélo, jouer au baseball ou au ballon... (ce qu'il a fait aussi!)
Promesse de floraison, acune idée de la fleur...
Derrière la maison, la forêt... au moins là, rien à y faire!
Quand verrais-je le jour où je pourrais lire à l'ombre dans un hamac ou paresser sur une chaise longue? Pourtant j'applique à la lettre les principes du jardinier paresseux... pffff!
Dimanche soir : on est vannés, cloqués, courbaturés... au lit avec les poules!
Et ce matin, j'ai peine à marcher...